Face au succès de l’opération lancée début 2018, le promoteur Roxim généralise le dispositif inédit « Satisfait ou Remboursé », à l'ensemble de ses programmes neufs.
Plus de deux ans après le lancement de l’opération inédite « Satisfait ou Remboursé », le promoteur Roxim généralise ce dispositif à tous ses programmes immobiliers neufs. Quand début 2018, Roxim décide de transposer à ses programmes de logements neufs une des méthodes les plus éprouvées de la grande distribution : « Satisfait ou Remboursé », beaucoup s’interrogent sur la pertinence du concept dans la promotion immobilière et pourtant, c’est un succès. Après avoir testé ce dispositif inédit sur trois programmes immobiliers pilotes du Sud-Est de la France entièrement commercialisés et livrés, Roxim développe ce dispositif à l'ensemble de ses projets immobiliers neufs.
Un logement neuf satisfait ou remboursé, c’est quoi ?
Après avoir étudié avec l’institut Ipsos les motivations et les freins des primo-accédants à acheter un logement neuf, le promoteur avait repéré plusieurs inquiétudes sur l’aboutissement du projet : le promoteur va-t-il aller au bout ? Les délais seront-ils respectés ? La qualité et les prestations du bien acquis seront-elles conformes à ce que l’on m’a présenté ?
Seulement deux appartements neufs remboursés
Pour rassurer ces primo-accédants, Roxim a donc testé le dispositif Satisfait ou Remboursé, sur trois programmes pilotes à Saint-Martin-du-Var, Montpellier, Puget-sur-Argens. Sur 74 bénéficiaires, seulement deux remboursements ont été sollicités et aucun n’a été formulé à la livraison. Tous les remboursements effectués font suite à des aléas de vie comme la séparation ou l’arrivée d’un enfant.
L’expérience a donc démontré que ce dispositif sécurise le parcours résidentiel des primo-accédants. Valentin D, acquéreur d’un trois-pièces dans l’une des résidence pilote témoigne : « Cette garantie nous a aidés à sauter le pas. C’est Roxim et pas un autre car il a un filet de sécurité supplémentaire ». « Les promoteurs ont un rôle social et doivent accompagner les jeunes ménages dans leur désir de propriété. Proposer des logements compatibles avec leur revenus c’est en effet un bon début mais cela ne fait pas tout », conclut Anaïs Thourot, PDG de Roxim.